Des constats alarmants sur le milieu : à l’époque l’impact des dragages avait été estimé à 20 ans pour une amélioration du milieu.
Trente-quatre ans plus tard la Saône donne toujours l’impression d’être un canal. Les joncs et herbiers ne sont que peu revenus. La navigation de gros bateaux n’aide en rien au retour de ses zones propices au poisson.